Samedi prochain, 29 mars, sera le jour de la huitième édition de l’Heure de la Planète : des milliers de villes du monde entier seront pratiquement plongées dans le noir car leurs habitants éteindront délibérément les lumières de chez eux tandis que les mairies feront de même pour les monuments les plus emblématiques de leurs municipalités (la tour Eiffel, les Pyramides, la Sagrada Familia…). Toutefois, l’Heure de la Planète est bien plus qu’un événement symbolique contre le changement climatique. C’est un mouvement mondial qui vise à nous sensibiliser au rôle actif et positif que nous pouvons tous jouer pour préserver la Terre. Il a déjà réussi à établir des engagements environnementaux dans le monde entier. Desmond Tutu, prix Nobel de la paix, l’a qualifié de « l’un des mouvements sociaux les plus importants jamais vus par l’humanité ».
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L’Heure de la Planète est une idée de l’ONG WWF (World Wide Fund for Nature) et de la prestigieuse agence de publicité Leo Burnett. Elle a lieu tous les ans le dernier samedi du mois de mars, de 20 h 30 à 21 h 30 (heure locale). Sa première édition s’est tenue à Sydney (Australie) le 31 mars 2007 avec la participation de plus de deux millions de personnes. L’an dernier, plus de 7000 villes y ont participé.
Participation active de tous les acteurs sociaux
Aujourd’hui, l’Heure de la Planète se déroule avec la participation active de petites, moyennes et grandes entreprises, des médias, des institutions publiques et privées, de personnages de référence de la vie sociale et de millions de personnes agissant à titre personnel dans le monde entier. La manifestation de samedi est un appel qui nous invite à nous engager envers l’efficience énergétique et à consommer responsables toute l’année, à encourager les bonnes pratiques et à contribuer à la création de villes durables. Sur son site web, la WWF fournit toute sorte d’informations et de ressources aux entreprises et aux particuliers qui se demandent comment contribuer aux objectifs de la campagne et, plus généralement, à la préservation de l’environnement. On y trouve également les activités programmées pour la journée dans chaque pays : concerts, conférences, marches, ateliers, etc.
60 minutes de repos bien mérité pour la Terre… et sans Internet, non plus !
Cet an-ci, l’Heure de la Planète nous demande quelque chose en plus, un véritable défi pour bien des gens : elle nous demande d’éteindre aussi Internet pendant une heure. Et, si nous possédons un site web, de le désactiver lui aussi.
L’agence Leo Burnett Madrid a créé pour WWF un outil novateur qui permet à tous – institutions, particuliers et entreprises – de désactiver leur site web pendant l’Heure de la Planète en suivant des instructions très simples. Les sites web seront affichés en noir, mais il ne sera pas possible de naviguer dedans à l’aide de la souris, laquelle fera office de lampe de poche et illuminera les contenus en passant par-dessus.
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Chez Inmesol, nous suivons une politique d’efficience énergétique dans nos installations comme dans l’application de nouvelles technologies plus respectueuses de l’environnement dans les groupes électrogènes et les tours d’éclairage que nous fabriquons. Et nous continuons à innover pour faire de notre planète un monde plus durable.